Vermifugation raisonnée du cheval : comment réduire les vermifuges chimiques grâce aux plantes ?

La vermifugation raisonnée s’impose en 2025 comme une nécessité. Face à la montée des résistances aux molécules chimiques et à la préservation du microbiote intestinal, les pratiques évoluent. Désormais, on ne vermifuge plus systématiquement tous les chevaux : on cible, on mesure, et on utilise des solutions naturelles en première intention. Explications.

? Pourquoi abandonner les vermifuges chimiques systématiques ?

Longtemps, la vermifugation reposait sur un principe simple : un vermifuge chimique tous les 3 mois, sans distinction. Résultat : l’apparition de résistances chez les parasites, la destruction de la flore intestinale du cheval, et une baisse de l’immunité.

En 2025, cette approche est remise en question. Les vétérinaires et les experts préconisent désormais un protocole raisonné, basé sur la coproscopie, l’analyse des excréments permettant d’identifier les “forts excréteurs”.

? Le rôle central de la coproscopie

La coproscopie est un outil simple, abordable, et non invasif pour décider si un cheval a réellement besoin d’un vermifuge chimique. En cas de faible excrétion, des solutions naturelles peuvent suffire.

? Les plantes comme alternative douce et efficace

Certains extraits végétaux présentent une action antiparasitaire ou un soutien à l’équilibre digestif :

• L’ail et le thym : réputés pour leurs propriétés vermifuges naturelles
• La tanaisie, l’absinthe, le fenouil : plantes traditionnellement utilisées en phytothérapie animale
• Les graines de courge : riches en cucurbitacines, connues pour leur action contre les parasites intestinaux

Ces ingrédients se retrouvent dans plusieurs compléments de notre catalogue :

• Distri’Vern – formulation naturelle complète pour chevaux
• Pack Distri’Vern – idéal pour une cure préventive
• Verm’Phyt – adapté aux chevaux, bovins, caprins
• PET’Vern – version chien

? Comment intégrer les vermifuges naturels dans une stratégie raisonnée ?

Un protocole simple peut être mis en place :

1. Printemps : cure préventive naturelle (Distri’Vern ou Verm’Phyt), en sortie d’hiver
2. Été : surveillance, pâturage tournant, hygiène des abreuvoirs
3. Automne : seconde cure + coproscopie si nécessaire
4. Hiver : vermifuge chimique uniquement si besoin confirmé

? Résumé visuel

Un tableau comparatif pourrait être intégré ici sur PrestaBlog pour mettre en regard :

• Les avantages/inconvénients des deux approches
• Le coût sur une année
• Les bénéfices santé à long terme

? En conclusion : choisir sans surtraiter

Passer à une vermifugation raisonnée, c’est faire le choix d’un cheval en meilleure santé, d’un système digestif préservé et d’une action plus durable. Les produits naturels ne visent pas à remplacer les vermifuges chimiques dans tous les cas, mais à les réduire au strict nécessaire.

Votre vétérinaire peut vous accompagner dans cette démarche, tout comme nos équipes. N’hésitez pas à découvrir notre gamme complète ici.