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Malgré une utilisation ancestrale en Inde et en Chine, ce n'est que depuis quelques décennies que nous nous penchons sur les possibles effets thérapeutiques du Curcuma. La Cine fait partie des pays où l'on rélaise des essais clinique afin de mesurer l'impacte sur l'organisme du Curcuma
La plante est originaire d’Inde et d’Asie du Sud, le curcuma est cultivé dans l’ensemble de l’Asie, et on estime que son usage remonte à près de 4000 ans. Notamment en médecine traditionnelle chinoise et ayrvédique (Indienne). On l’a retrouve aussi en Afrique près des tropiques et dans les Antilles. Nous devons les premières connaissances d’utilisation de cette plante à la médecine ayurvédique (médecine traditionnelle indienne) principalement pour ses propriétés antioxydants et anti-inflammatoire. La médecine traditionnelle chinoise a également contribué à l'accumulation de connaissances sur l'utilisation de cette plante.
C'est une grande plante herbacée vivace qui peut atteindre 1,50 m de haut. Elle possède de grandes feuilles lancéolées vert-pâle d'une longeur de 50 cm (environ).
Il s'agit du rhizome. Le principe actif est appellé curcumine (présent à environ 1% (dérivés du dicinnamoylméthane)). Les principales composés chimiques son les curcuminoïdes (responsable de la couleur de la pourdre de curcuma).
Le rhizome est déterré avec précaution et coupé en morceaux. On le fait bouillirou chauffer à la vapeur avant séchage.
Dans un premier temps le curcuma était distribué en plus de la ration de grain pour accompagner un traitement contre les ulcères gastriques du cheval. Le curcuma sur le long terme permettrait de réduire le taux d'acidité gastrique et par conséquent de diminuer le terrain propice à la formation d'ulcère.
Puis il a été également employé en renfort dans les aliments complémentaires visant à améliorer le confort des chevaux souffrant d'arthrose équine. Il est fréquemment associé à l'harpago et à la prêle. Cette plante n'est pas en mesure de soulager la douleur.
Pour son action positive lorsque que le foie a souffert suite à une pathologie telle que la piroplasmose ou la leptospirose. On lui prête une action drainante et favorable à une bonne santé du foie.
On lui connait quelques associations telle qu'avec la bardane pour aider les chevaux présentant des problèmes de peau. Ou également dans le processus de cicatrisation d'une plaie.
Le principe actif de la plante est la curcumine, que l'on retrouve dans les racines secondaires.
Bien que nous ne pouvons pas conférer et certifier les nombreuses vertus que l'on accorde à cette plante, plusieurs études soulèvent de possible action bénéfique et complémentaires de traitements en cours sur la protection cardiovasculaire, d'effet neuroprotecteur, immuno-modulateur, dyspepsie, effet cholérétique ou encore hépatoprotectrice. Seul certain de ces effets (comme la dyspepsie) est reconnu par l'OMS (Organisation Mondiale pour la Santé).
L'usage traditionnel de cette plante s'est notamment porté sur les troubles digestifs (foie, acidité gastrique, désordre digestif, etc).
