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L'espèce serait d'origine d'Asie centrale. Elle est cultivée depuis 6000 ans. Cette plante dont on retrouve la trace en Egypte ancienne fait encore couler beaucoup d'encre à son sujet. Elle a été cultivée principalement pour l'alimentation.
Elle assure sa reproduction à l'aide d'une tige souterraine à développement vertical : le bulbe. De là on peut observer des bourgeons latéraux (les caïeux) qui permettent de multiplier l'espère. Elle possèdent également des feuilles (gris vert/gris leuté) lineaires et engainantes qui se teremine en pointe.
Elle est constituée par le bulbe. Une fois divisé et desséché à froid ou à chaud (le pus courant - mais la température ne doit pas excéder les 65°C). Le principe actipe se nomme allicine et doit être présent à hauteur de 0,45% (valeur moyenne).
Nous retrouvons dans ce bulbe de nombreux composés comme des dérivés souffrés (comme l'alliine (présent dans l'ail frais)- sulfate de cystéine) et des produits issus de leur dégradation comme l'allicine. D'autres y sont présents comme les ajoènes et les sulfures, ainsi que 8 autres composés chimiques.
Si nous considérons de façons brutes les vertus attribuées à l'ail, nous pourrions croire à la solution universelle pour une meilleure santé. Elle tire sa force de ses acides phénoliques qui contribuerait à une meilleure hygiène sur le plan intestinal et sur le plan respiratoire. Elle contient de l’inuline qui serait un probiotique, donc elle serait bénéfique à la flord intestinale. Elle apporte naturellement des vitamines du groupe A, B, C et E ou encore de l’allo ciné.
Dans le cas du cheval qui dans son environnement quotidien moderne est confronté à plus d'agression qui peut le fragiliser. La poussière de l'écurie, l'exposition à de nombreux autres équidés lors de manifestations équestres porteurs ou non de petits virus et bactéries.
La vie en troupeau les exposent à plus de blessures que se soit des coups de sabots, une blessure liée aux clôtures des paddocks.
Si nous nous basons sur la littérature autour de l'ail, cette plante aurait des vertus antiseptique, antibiotique, vermifuge (en application externe), diurétique, régulateur de la tension, anti-oxydant, anti-bactérien, mais la liste est longue. Cela ne place pas l'ail au-dessus d'un traitement médicamenteux et l'avis d'un vétérinaire spécialisé en médecine équine.
Par ailleurs, il convient de ne pas trop abuser de l’ail, aussi bénéfique soit elle, un excès peut provoquer des désagréments digestifs (notamment des brûlures gastriques).
