Comment détecter le syndrome de Cushing chez le cheval ?
Le syndrome de Cushing équin (ou PPID) se manifeste souvent par une combinaison de signes visibles : fonte musculaire rapide, poil long et hirsute (hypertrichose), léthargie, mais aussi soif et urines excessives. Un cheval qui peine à muer et présente une posture anormale peut aussi être un cheval Cushing. Une prise de sang pour doser l’ACTH permet de confirmer le diagnostic.
Dans les cas avancés, le Cushing peut être associé à des épisodes de fourbure, rendant l’identification et la prise en charge rapide indispensables.
Soigner naturellement un cheval atteint de Cushing
Une approche naturelle permet de soutenir l’organisme du cheval Cushing tout en limitant les effets secondaires. Le gattilier est reconnu pour aider à la régulation hormonale, tandis que l’artichaut et le chardon marie facilitent le drainage hépatique et l’élimination des toxines. Pour stimuler les défenses immunitaires, l’échinacée constitue un soutien précieux.
Notre complément naturel Horse Cush combine ces plantes pour accompagner le cheval Cushing au quotidien.